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Hypersensibilité, vraiment ?

  • Photo du rédacteur: Audrey Hesseling
    Audrey Hesseling
  • 1 août
  • 1 min de lecture

On rencontre ce terme un peu partout : sur les réseaux sociaux, dans les ouvrages de développement personnel, au détour de discussions entre ami·es ou même dans le monde du travail. Beaucoup s’y reconnaissent, parfois avec un sentiment de libération, parfois avec un certain flou.

Mais derrière ce mot-valise qu’est « hypersensibilité » se cachent des réalités très diverses. Être hypersensible, est-ce ressentir les émotions avec une intensité décuplée ? Être dérangé par des sons que d’autres ne remarquent même pas ? Se laisser envahir par l’ambiance d’un lieu ? Ou vivre dans un état de tension intérieure constante, sans pouvoir en identifier la cause ?

À travers cet article, je vous propose de dépasser l’idée d’une hypersensibilité monolithique, pour explorer quatre formes principales qu’elle peut prendre : l’hyperémotivité, l’hyperempathie, l’hypersensorialité et l’hypervigilance. En distinguant ces nuances, on ouvre la voie à une meilleure compréhension de soi — et, peut-être, à un peu plus de douceur envers ce que l’on vit.


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